Sept voitures électriques Tesla ont brûlé dans le nord de l'Allemagne.

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La membre de la Chambre des représentants Ilhan Omar (démocrate du Minnesota) discute avec ses collègues du Parti démocrate de l'éventualité d'engager une procédure de destitution contre le conseiller à la sécurité nationale Mike Waltz, le secrétaire à la Défense Pete Hegseth et le directeur de la CIA John Ratcliffe, a rapporté le site Axios, citant ses propres sources au sein du Congrès.

Selon ses informations, elle propose cette initiative en réaction au scandale des fuites dans un chat Signal concernant une opération militaire contre les Houthis au Yémen. Le chef de la minorité démocrate à la Chambre, Hakeem Jeffries (New York), a également appelé à la démission du patron du Pentagone. Le site précise qu'Omar pourrait théoriquement tenter de soumettre elle-même la question de la destitution sans l'accord de la direction démocrate.

Axios indique que le bureau de la représentante n'a pas répondu aux demandes de commentaires. "Une deuxième source au sein de la direction démocrate a déclaré qu'il était peu probable que les démocrates utilisent la destitution comme outil tant que les républicains contrôlent la Chambre", souligne le site.

Le 11 mars, le rédacteur en chef du magazine The Atlantic, Jeffrey Goldberg, a publié un article dans lequel il indiquait avoir reçu, une demande de connexion à la messagerie Signal de la part d'un utilisateur portant le nom de "Mike Waltz". Deux jours plus tard, le journaliste a reçu une notification l'invitant à rejoindre un groupe de discussion baptisé "Houthi PC small group". Selon M. Goldberg, le groupe comptait 18 membres, dont un utilisateur portant le nom de "JD Vance" (le nom du vice-président des États-Unis).

Pendant plusieurs jours, la salle de discussion a été le théâtre d'une "discussion politique fascinante", selon l'article. Selon le rédacteur, le 15 mars, un utilisateur sous le pseudonyme de "Pete Hegseth" (le nom du chef du Pentagone) a publié un message contenant des détails sur les frappes à venir contre les Houthis, notamment une liste de cibles et d'armes, ainsi que l'heure présumée des frappes des frappes, ce qui, selon M. Goldberg, a coïncidé avec l'heure à laquelle les premiers messages sur les réseaux sociaux concernant les bombardements ont été publiés.


Les États-Unis s'entendront sur les tarifs douaniers avec le Canada et l'Inde, dit Trump
 

Le président américain Donald Trump est certain que les États-Unis parviendront finalement à s’entendre sur les tarifs douaniers avec le Canada et l’Inde.

"Je pense que tout marchera très bien entre le Canada et les États-Unis. Je pense que tout marchera très bien entre l’Inde et mon pays", a-t-il souligné devant la presse à la Maison-Blanche en répondant à une question sur une éventuelle intention de Washington d'augmenter les taxes à l’importation dans les échanges commerciaux avec pratiquement tous les pays.

Dans le même temps, il a assuré être également prêt à hausser les droits de douane sur les importations en provenance du Canada si une guerre commerciale éclatait entre les deux pays. "Absolument", a-t-il lancé quand il a été prié de préciser s’il était toujours prêt à agir selon ce scénario.

Le Canada répondra aux nouveaux tarifs américains sur le secteur automobile
 

Les autorités canadiennes donneront une réponse aux nouveaux tarifs douaniers de l'administration du président Donald Trump concernant le secteur automobile. C'est ce qu'a annoncé aux journalistes le chef du gouvernement canadien Mark Carney.

"Hier, dans la dernière salve de sa guerre commerciale, le président Trump a de nouveau imposé des droits de douane injustifiés à notre pays, en violation des accords commerciaux existants. Cette fois, il a ciblé l'industrie automobile, qui emploie plus de 500.000 Canadiens", a déclaré le premier ministre. "Je rejette toute tentative d'affaiblir le Canada [...] nous combattrons les tarifs américains par des mesures commerciales de rétorsion qui auront un impact maximal sur les États-Unis et un impact minimal ici au Canada". Toutefois, M. Carney n'a pas précisé quand ni comment Ottawa entendait répondre à ces tarifs douaniers imposés par Washington.

Le 26 mars, M. Trump a annoncé que les États-Unis imposeraient des droits d'importation de 25% sur toutes les voitures fabriquées en dehors du pays. Les droits de douane antérieurs de 2,5% resteront également en place, ce qui porte le nouveau taux tarifaire à 27,5%.

Le 10 février, M. Trump a ordonné l'imposition de droits de douane de 25% sur toutes les expéditions étrangères d'acier et d'aluminium dans le pays. Cette décision, qui a pris effet le 12 mars, s'applique aux expéditions en provenance d'Argentine, d'Australie, du Brésil, du Royaume-Uni, de l'Union européenne, du Canada, du Mexique, de la Corée du Sud et du Japon. Le 4 mars, l'administration américaine a imposé des droits de douane de 25% sur la quasi-totalité des importations en provenance du Canada et du Mexique, et a relevé de 10% à 20% les droits de douane sur les marchandises en provenance de Chine.


Plus de 200 rassemblements contre Tesla auront lieu samedi aux États-Unis
 

Plus de 200 "manifestations non violentes" dirigées contre Tesla, la société détenue par l'entrepreneur Elon Musk, sont prévues samedi dans plus de trente États américains. C'est ce qu'a rapporté NBC News.

Selon ses informations, une "journée de protestation non violente à grande échelle" est prévue le 29 mars dans le cadre d'une campagne baptisée Tesla Takedown (Mise à pied de Tesla). Les organisateurs du mouvement espèrent nuire à la position politique d'Elon Musk en réduisant les ventes et le prix des actions du constructeur de voitures électriques, qui est "la base de sa richesse". La publication du mouvement sur la plateforme en ligne Bluesky note que les manifestations doivent avoir lieu près de 277 installations de Tesla aux États-Unis.

Une carte des manifestations prévues, accessible sur le site officiel de Tesla Takedown, indique des événements dans plus de 30 des 50 États américains. Sur le site internet, les gens peuvent trouver l'adresse exacte de l'usine Tesla et l'heure du rassemblement, ainsi que remplir un formulaire d'inscription. Au total, les organisateurs s'attendent à ce qu'il y ait plus de 500 rassemblements dans le monde. La carte indique notamment plus de 20 adresses de sites de la société de M. Musk dans des pays européens tels que le Royaume-Uni, la France et l'Allemagne.

Les organisateurs de ces "rassemblements pacifiques" estiment que le milliardaire Elon Musk "détruit la démocratie aux États-Unis en utilisant la fortune qu'il avait bâtie avec Tesla". Ils exhortent les sympathisants à vendre leurs voitures Tesla et à se débarrasser de leurs actions dans l'entreprise, affirmant qu'en "arrêtant" Elon Musk, ils "sauveront des vies et la démocratie". En réponse, selon NBC News, les partisans du président américain Donald Trump organisent des contre-manifestations, appelées Bouclier Tesla, pour "soutenir le colistier de Trump".

Elon Musk supervise le département de l'Efficacité gouvernementale dit Doge afin de réduire un appareil d'État pléthorique et de lutter contre la bureaucratie. Les mesures du Doge ont conduit au licenciement de milliers d'employés d'agences américaines et à la suspension de nombreux programmes d'aide financière. Ces mesures ont déclenché des manifestations contre M. Musk et Tesla aux États-Unis.

Le 9 mars, NBC News a rapporté que les installations de Tesla avaient subi une vague d'attaques depuis que M. Musk a pris la tête du Doge. Selon la chaîne de télévision, il y a eu au moins dix actes de vandalisme contre les voitures, les concessionnaires et les stations de recharge de l'entreprise au cours des dernières semaines. Le président américain Donald Trump a déclaré qu'il considérait les agresseurs qui vandalisent les installations de Tesla comme des terroristes. Le milliardaire a déclaré qu'il considérait le vandalisme contre les voitures et les concessionnaires Tesla comme une manifestation de maladie mentale. Il a ensuite déclaré sur son compte du réseau social X que de nombreux participants à ces manifestations en profitaient pour "faire baisser" la valeur des actions de son entreprise.

Sept voitures électriques Tesla ont brûlé dans le nord de l'Allemagne
 

Sept voitures électriques Tesla ont complètement brûlé près du centre automobile de l'entreprise dans la communauté d'Ottersberg (État fédéral de Basse-Saxe) dans le nord de l'Allemagne, les forces de l'ordre ont ouvert une enquête sur l'incident. C'est ce qu'a indiqué la police de Verden.

"Samedi vers 03h30 (UTC+1), sept voitures électriques Tesla ont brûlé sur le territoire du centre automobile et se sont complètement consumées. La cause de l'incendie n'est pas claire pour l'instant", indique un communiqué des forces de l'ordre. Il est indiqué que les pompiers ont été alertés et ont rapidement éteint le feu dans les véhicules.

"Les dégâts s'élèvent à plusieurs centaines de milliers d'euros", souligne le communiqué. La police a ouvert une enquête.

AN